Prélude...

ROME 1827

La chaleur cognait de tous les diables sur la basilique, même si celle-ci n'était constituée que de marbre.
Le Père Andreas s'essuya le front avec un mouchoir caché dans sa robe de bure noir, puis continua sa marche en direction du bureau de sa Sainteté.
La basilique était une oeuvre d'art colossal, une preuve de foi dévoué au Saint Seigneur, à sa gloire et à sa magnificence, chaques murs étaisent sculptés, représentant les scènes du livre saint, les plafonds avaient été magnifiquement peint par les plus grands artistes du règne romain.

Andreas ne s'attarda pas devant cet magnificence, il avait rendez-vous avec son excellence le pape Léon XII, celui-ci l'attendait pour il ne sait qu'elle raison, cela angoissait un peu le religieux, lui qui n'était même pas cardinal, ni évêque juste un simple frère, se voyait reçus dans le bureau de sa sainteté. Une chance? peut être pas....

Andreas était un jeune homme plutôt effacé, peu bavard voir même taciturne il ne trouvait la paix que dans la foi, il n'était au service du tout puissant que depuis 15 ans, l'année de ses 35 ans, il était rentré dans l'église après avoir fait de la prison suite a une sombre affaire de meurtre, il avait choisi cette voix afin d'obtenir le pardon, il avait donc fait à son arrivée voeu de piété, ainsi que de pénitence. Depuis cejour il était au service de la sainte église de Rome...

Il arriva enfin devant les portes du bureau de son excellence, il frappa, puis la porte s'ouvrit...



Sur une route entre Bologne est Florence...

L'homme avançait d'un pas lent et lourd à cause de la chaleur, la difficulté de son pèlerinage s'accroissait de jour en jour... Il était vêtu d'un manteau noir de cuir et d'un chapeau noir,n'ayant pour seul équipement qu'un bâton et une gourde, il n'avait ni argent, ni nourriture.

Le père Mathéus marchait péniblement sur le sentier, mais ainsi était fait son pèlerinage. Il s'arrêta quelques minutes sur le bord de la route pour boire quelques gorgées d'eau, et se reposer. Le pape l'avait fait venir depuis la sainte église de St Jacque de Compostelle, cela faisait bientôt six jours qu'il était parti, il n'arriverai probablement que dans deux semaine,
- Qu' est-ce sa majesté le pape Léon XII peut-il bien vouloir à un moine? Il se le demandait.
Matheus connaissait le pape Léon XII ou Annibal, ils avaient fait leur étude dans la même école, Annibal était parti à Rome, quant à Matheus, lui avait rejoint la vie monastique....

Sur ces quelques pensées Matheus se releva, puis se remit en route...

dans une chapelle prés de varsovie 1827

Un jeune homme affolé courré dans tous les sens en ceux chaud après midi de septembre...
_Mon père, Mon père!! Je viens de recevoir ici un message du vatican!! un messager viens tout juste de le faire porter!! mon père!!! le jeune homme continuait de courire dans les couloirs telle un forcené, tenant le message telle une relique du saint christ lui même.

le père Erjanof étais un homme d'un âge ma foi bien avancé, celui ci avait déjà atteint la quarantaine, et il étais rester fidèle ce monastère depuis ses 17 ans ayant fais voeu de piété et de sagesse. Le sage étais en train de rédigé un parchemin mains perpetuent la tradition monastique, quand il entendit le jeune frère ernesto arrivé de manière plutôt précipité...

Le jeune homme entra précipitamment dans le bureau du père Erjanof, lui tendant le parchemin scellé du sceau de l'inquisition...
Le père ne l'ouvrit pas, il n'en avait pas besoin, c'était donc ainsi, sa sainteté Léon XII l'appeler, Annibal, l'avait donc finalement appeler, l'inquisition l'appelait donc pour continuer se long fardeau qu'il perpetue lui et sa famille depuis des génération...
Peut être une nouvelle croisade, sûrement se le sage, les 13 en croisade une rareté... le grand conseille ne devrait plus tardé a se réunir...

Les 13, 13 homme et femme, reunit afin de lutter contre les hérétique membre du conseil 13 réunis, les 13 du vaticans, les 13 étais les pire être de la société ecclésiastique, dans leur ancienne vie ils avait tous accomplie les 7 péché au moins une fois, se damnant du salut divin, alors afin de retrouvé leur pureté ils avait livré non seulement leur vie mais leur âme a dieux il n'étais en réalité que les jouet du vaticans, leur dévoué serviteur le bras armés de la tout puissante inquisition du vatican au service du pape mais avant tous de dieux...
Et enfin après tant d'année, ils étais réunis, on les appeler...